Dorénavant, pour dépister l’endométriose, maladie responsable d’intenses douleurs chroniques, souvent récidivante, qui touche une femme sur 10 en âge de procréer, une goutte de salive suffit. Le prélèvement est réalisé par la patiente elle-même, en présence d’un professionnel de santé qui l’envoie à Tercis-les-Bains par voie postale. L’Endotest, aujourd’hui disponible dans une quinzaine de pays, coûte 1 000 euros, mais la ministre de la Santé, Catherine Vautrin, a indiqué que « le gouvernement attendait les résultats des dernières études en juin, avant de décider du remboursement qui pourrait intervenir à la fin de l’année ».
12,5 MILLIONS D’EUROS D’INVESTISSEMENT
Comme c’est souvent le cas pour l’avènement de grands projets, l’idée d’implanter dans l’ancienne station thermale landaise, Ziwig Lab, laboratoire de biologie médicale moléculaire spécialisé dans l’analyse et le séquençage de l’ARN salivaire, est née à Paris lors d’un dîner dans un restaurant libana…