« C’est un acte de résistance poétique de ressusciter un métier ancien, un peu désuet, au moment où le virtuel prend toute la place », revendique Mélanie Garnier-Pottier, fondatrice de Plume de Pin, à Magescq. Elle s’est lancée, en mars dernier, comme écrivain public, consciente que tout l’enjeu consiste à faire connaître son métier. « J’aimerais faire émerger ce besoin fondamentalement humain de trans- mettre son histoire et d’entendre celle des autres », confie-t-elle.
Si elle rêve d’écrire des lettr…