En octobre dernier, le Sénat a adopté en première lecture une proposition de loi visant à encadrer le développement de l’agrivoltaïsme. Alors que le projet sera présenté au vote de l’Assemblée nationale le 10 janvier, les débats font rage entre les partisans et les opposants à cette activité.
Les premiers y voient un moyen pour les agriculteurs de générer un complément de revenus et de garantir la production. Alors que les seconds crient à l’artificialisation déguisée des sols et à la perte de souveraineté alimentaire. Le danger, en effet, est de voir des terres agricoles détournées de leur vocation première pour devenir des centrales de production d’énergie.
Pourtant, il existe des exemples où agriculture et photovoltaïque se complètent parfaitement. C’est ce qu’ont voulu montrer Aqualande et UNITe en organisant, fin novembre, la visite de la pisciculture de Mézos.
RÉDUCTION DE LA PÉNIBILITÉ DU TRAVAIL
Créé par le groupe Salmona en 1975, avan…