Couverture du journal du 01/10/2025 Le nouveau magazine

Sparklight se met au ballet lumineux

Le drone devient le nouveau concurrent du feu d’artifice. Mais compte tenu de son prix beaucoup plus élevé malgré une conception locale, l'artificier Sparklight qui a prévu d’agrandir ses locaux à Losse ce printemps, conseille toujours à ses clients de combiner les deux.

Sparklight

© Sparklight

Pour obtenir « quelque chose de cohérent dans le ciel, il faut faire voler un minimum de 100 drones en même temps, c’est une logistique conséquente », explique Romain Bridoux, un des cinq associés de Sparklight. Côté tarif, pour 10 à 15 minutes de chorégraphie lumineuse millimétrée, « on a aujourd’hui du mal à descendre sous les 10 000 euros. Il y a de plus en plus de demandes des mairies notamment, mais elles n’ont pas toujours le budget nécessaire alors qu’un petit spectacle pyrotechnique peut commencer à 1 000 euros. Toutefois, les coûts sont peu à peu en train de baisser, entre formalités administratives de déclaration simplifiées et nouvelles solutions pour la conception des shows : on est ainsi passé en quelques années de deux semaines nécessaires pour la création à trois à cinq jours aujourd’hui. »

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Drones faits à toulouse

Contrairement aux feux d’artifice importés très majoritairement de Chine, et aussi de Pologn…