Sur les zones non irriguées après les épisodes de canicule, le maïs est à la peine. Compte tenu des vagues de chaleur depuis le début de l’été, « nous avons déjà perdu quelque 20 % de la collecte chez Maïsadour. Si les prévisions météo avec très peu d’eau se vérifient, nous pourrions arriver à 40 % ou 50 % de perte », a twitté Christophe Bonno, directeur général de la coopérative landaise, leader européen du secteur.
Chez Maïsadour, les exploitants comptent plus de la moitié de surfaces de maïs non irriguées : « Ils n’arrosent pas leur maïs car ils ne disposent pas de réserve d’eau, comme ils le souhaiteraient. » Et le dirigeant de demander au ministre de l’Agriculture d’« avancer ensemble sur l’irrigation ».