Couverture du journal du 01/05/2025 Le nouveau magazine

Gorille Cycles : l’électrique chic

Sur le marché des vélos électriques, Gorille Cycles qui fabrique et assemble à Capbreton ses engins « robustes et de caractère », se taille un beau succès.

Christophe Yvars, Gorille cycles

Christophe Yvars, fondateur de Gorille Cycles © D. R.

Dans les locaux actuels de Gorille Cycles situés dans la zone des Deux-Pins à Capbreton, l’équipe de sept personnes (pas tous salariés) est désormais bien à l’étroit. Mais dans quelques mois -cet été si tout va bien-, elle devrait entrer dans son nouvel espace dédié dans la zone Pédebert à Soorts-Hossegor : 900 m2 de bâtiment (huit fois plus grand qu’aujourd’hui) sur 15 mètres de haut avec un atelier d’assemblage ouvert sur le showroom, histoire de montrer aux clients l’envers du décor. Ce sera aussi un nouveau point de départ pour des balades à plusieurs en forêt ou des événements sur place.

UN NOUVEAU VÉLO EN BOIS

Malgré un retard dû à la crise sanitaire, 2022 va également marquer la sortie du premier vélo bois de la marque, un modèle forcément atypique et très luxe dont le prix n’a pas encore été dévoilé, mais qui sera logiquement plus cher que les deux-roues actuels de la marque, classiques, pliants ou rétros, qui  se  vendent entre  2  000  et 3 400 euros. Rareté dans le milieu du cycle où tout ou presque vient d’Asie, son cadre est manufacturé en France (dans les Landes), avec une petite partie en alu et une grosse partie en  bois,  du  hêtre et de l’eucalyp…