L’ ex-surfeur professionnel, reconverti dans l’industrie du chanvre, l’assure. Cet été, alors que la canicule sévissait dans le Sud-Ouest avec des records bien au-delà des 40°C, il ne faisait pas plus de 21°C dans son nouvel atelier. « On a 80 cm de murs thermorégulés en béton de chanvre avec de la ouate de cellulose au plafond, c’est une isolation de grande qualité, un bâtiment conçu dans un équilibre énergétique, avec des flux réfléchis et une maîtrise en amont », plaide Vincent Lartizien qui loue « une qualité de vie à l’intérieur où tout le monde se sent bien, car le chanvre permet aussi de repousser naturellement l’humidité et les insectes ».

Vincent Lartizien © Domolandes
TRIPLEMENT DU CHIFFRE D’AFFAIRES DEPUIS LA COVID
Le nouveau site à deux pas de ses débuts à Domolandes sur la zone d’activités Atlantisud, a été construit en béton de chanvre et terre crue (issue de Saint-Jean-de-Luz) sur 2 000 m2, au lieu des 600 m2 des ateliers précédents, où lui et ses 20 salariés (chefs d’atelier…