À travers une soixantaine de pièces uniques, l’artiste invite à découvrir la richesse de cet art ancestral dont il a étudié les techniques durant une quinzaine d’années en Asie. De l’architecture des stupas, monuments du bouddhisme, aux émaux de l’époque Song (960-1279) en Chine ou aux bijoux du Népal, les couleurs, les insertions et les empreintes de chaque pièce évoquent un pays, une histoire ou une émotion.
Jusqu’au 1er octobre – place de la Faïencerie – Samadet