Un quillet en terre battue, dans son jus, une cheminée qui « hume », des poutres apparentes en bois brut, des jambons qui sèchent, à la cuisine, une tête de veau qui mijote, de la vaisselle des grands-mères, des nappes et napperons. Ici, le temps s’est arrêté.
« Pour moi, le snacké ce n’est pas la panacée, avoue l’aubergiste. J’aime les cuissons douces qui permettent d’exhaler les sucs. » Aurélien Bellocq ne fait pas de concession à la modernité robotisée. Son credo : sublimer les produits locaux avec patience et recréer l’ambiance des repas de famille d’autrefois. « Si…